Depuis son indépendance, le Maroc a mis en place un système de contrôle qui devait répondre au souci d’une amélioration de la productivité du secteur public et d’une gestion plus rigoureuse des derniers publics.
A cet effet, des institution de contrôle constituant l’émanation des pouvoirs exécutifs (L’inspection générale des finances), judiciaire (la cour des comptes) sont venues couronner l’édifice déjà mis en place tels que le contrôle financier et la tutelle technique ou administrative.
Cependant, malgré la prolifération de ces contrôles, internes et externes, et la multiplicité des organes de contrôle. Le système s’est révélé inadapté aux exigences d’une gestion rationnelle et efficace du secteur public.
La déficience de notre système de contrôle réside dans la complexité des modalités d’exercice du contrôle, la multiplicité des domaines d’intervention, la pluralité des procédures et les formalités administratives, la rigidité des structures d’une administration très pesante et hermétique d’où le recours à la politique de privatisation
lundi 9 juillet 2007
adopter la privatisation :L’inefficacité du contrôle
Catégorie : Economie du Maroc, la privatisation
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