Dépourvu de pétrole et pauvre en charbon (les mines d’anthracite de Jerada fournissaient 526 000 tonnes en 1990), le Maroc est tributaire de l’étranger dans le domaine énergétique. Sa dépendance quasi totale pour le pétrole représente une lourde charge, accaparant jusqu’à 50 p. 100 des recettes d’exportation. La production énergétique appelée sur le réseau de l’Office national d’électricité a été de 9 371 gigawattheures en 1990, assurée pour près de 85 p. 100 par les centrales thermiques de Mohammedia, Kenitra et Jerada. Afin de réduire la dépendance pétrolière, le Maroc poursuit la mobilisation de son potentiel hydraulique et envisage une optimisation de la recherche dans les domaines du pétrole, du gaz et du charbon et le recours à l’énergie nucléaire.
jeudi 19 juillet 2007
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