L’agriculture fonctionne, ainsi, à plusieurs vitesses et génère, tant les déséquilibres internes, techniques et culturels sont puissants, de violents contrastes de niveaux de vie, difficiles à réguler. Or les choix politiques récents de désengagement de l’État risquent d’aggraver les dysfonctionnements. Que deviennent les projets de développement rural intégré situés dans les zones de bour (projets Fès-Karia-Tissa, El Hajeb, Oulmes-Rommani...) et les ambitions d’assurer la transition des campagnes «vivrières» vers les formes modernes d’organisation de la vie rurale, si les soutiens et les actions de l’État s’effacent pour laisser le champ libre aux seuls mécanismes du marché?
jeudi 19 juillet 2007
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